Démarches, espoir et patience…beaucoup de patience

Démarches, espoir et patience…beaucoup de patience. Aujourd’hui lors des séparations, beaucoup de difficultés à surmonter pour le parent seul avec enfants. Contrairement à mes a priori il y a peu d’aide accessible et surtout il faut creuser et se débrouiller pour trouver les bonnes infos.

Notamment sur les règles, devoirs, obligations entre parents. Depuis le 1er janvier, il est obligatoire d’entamer une médiation familiale avant toute demande devant un juge et ce à titre expérimental jusqu’au 31 décembre 2019.

Pour avoir testé je trouve que  cette démarche reste compliqué malgré tout.

Le fondement principal est la neutralité et chaque sujet abordés en individuel sera forcément évoqué lors des rendez-vous communs.
Pour ma part, l’alcoolisme, la violence et les peurs qui en découlaient ont été difficiles à aborder en individuel et encore plus lors des rendez-vous en communs.

La médiatrice revient sur l’histoire du couple, la naissance, le quotidien, elle mets des repères de temps sur les différents événements et essaies de proposer des temps de gardes pour les parents à respecter d’ici le prochain rendez-vous.


La médiatrice revient sur l’histoire du couple, la naissance, le quotidien, elle mets des repères de temps sur les différents événements et essaies de proposer des temps de gardes pour les parents à respecter d’ici le prochain rendez-vous.


Le lieu peut permettre également d’aborder et de caler les éléments relatifs à l éducation et aux soins pour les enfants.
C’est une étape, une des premières, elle peut aider, désamorcer des situations et permettre d’écrire une requête commune au juge aux affaires familiales (jaf).

Dans le cas où on ne s’y retrouve pas, la démarche suivante sera de faire appel à un avocat.

Démarches, espoir et patience…beaucoup de patience.
Là encore pas simple, le cadre légal, le droit, le système juridique, reste compliqué quand on a pas l’habitude.
La patience, je crois que ce mot a été créé lors des premières instance de divorce.
L’idéal est d’avoir un nom d’avocat recommandé avec un bon retour d’expérience.
Au premier rendez-vous on est dans l’attente de solutions miracles, de lois que l’on ne connaît pas qui vont tout régler, également une multitude de question pour lesquelles va falloir attendre et apprendre à relativiser.
Le ressenti me paraît important, ce n’est pas facile d’expliquer sa situation, il faut pouvoir se sentir écouter, compris, rassurée et avoir un mode de communication fluide.


Le côté professionnel est déterminant également, la renommée.


Après il faut jongler avec  les créneaux de rendez-vous parmi un quotidien bien chargé.
Faire garder son loulou pour pouvoir se rendre au cabinet, croiser les doigts pour que le temps d’attente n’excède pas la limite avant l’heure de fin garde, pour ma part je ne suis jamais sorti avant 20h.

Mais toujours le cœur rempli d’espoir, encore plus combative que jamais.

Carnet de correspondance à lire et à signer :

https://editioneo.com/blog/la-maison-de-la-justice-et-du-droit-quest-ce-que-cest/

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34355

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F18074

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R15764

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